Maeornius: les débuts
Page 1 sur 1
Maeornius: les débuts
La vie de Maeornius :
Acte I : Le départ
Nous sommes le 5 Vifazur, le soleil se lève lentement sur Blacklight, petite bourgade situé au Nord de Morrowind et coincé entre les montagnes au Sud et la mer au Nord. Le petit Maeornius, âgé de ces 12 étés, se réveille tandis que sa mère lui a préparé son petit-déjeuner, constitué essentiellement de Venaison et de fromage de Mammouth en provenance de Bordeciel.
Aujourd’hui est un grand jour pour Maeornius ; il va enfin passer le rite qui se perpétue dans sa famille depuis des siècles : il va devoir voyager à travers monts et vaux afin de devenir un Dunmer cultivé et aguerri pour pouvoir servir plus tard la mère patrie si le besoin se fait sentir.. Néanmoins sa famille est d’autant plus attentive que Maeornius a emprunté un chemin bien différent de celui des autres membres. En effet la grande majorité de la famille s’étaient aguiché pour le maniement des armes ou pour l’art de la furtivité, Maeornius, lui, a été très vite attiré par l’art des arcanes et avait, de surplus, un talent inné pour l’application de celle-ci.
L’après-midi approchant, Maeornius, équipé de son Havresac quitta le village après de chaude accolade avec sa mère et son oncle, habitant lui aussi dans le village et lui ayant appris les techniques élémentaire de survie. Le prochain objectif : partir vers le Sud et faire étape à Narsis, grande ville de Morrowind. Mais, actuellement, son principal défi résidait dans le fait de devoir traverser la chaîne de montagne lui permettant de rejoindre Narsis plus rapidement. Malheureusement cette chaîne de montagne était connue pour servir de repaire à un grand nombre de maraudeurs et de viles créatures : la vigilance était donc de mise.
Après deux jours de marche, Maeornius arriva devant le chemin sinueux et pentu qui amorçait la marche à travers les montagnes. Sans se poser trop de question, il passa devant l’écriteau d’avertissement et fonça tête passé vers le premier sommet. Le chemin était pavé mais inégalement et les petites bottes de cuir qu’avait confectionné Maeornius n’était guère adapté à ce genre de terrain, la douleur se fit ressentir rapidement et des ampoules commença à apparaitre ici et là sur les chevilles, transforma la marche en un véritable calvaire. Pour ne rien arranger la nuit commençait à tomber et rien n’était fait pour qu’il puisse dormir à l’abri des vents froids et violents qu’il y avait à cette période de l’année. Maeornius se dépêcha donc de faire un tas de bois de fortune et de l’allumer avec le seul sort qu’il connaissait, un petit sort qui projette un filet de feu en continu mais peu puissant, par chance le petit feu s’alluma assez vite. Malgré que la question d’être attaqué pendant son sommeil, Maeornius s’endormit assez vite.
Il se réveilla aux premières lueurs du jour, remballa ces affaires et dissémina les cendres de la veille pour éviter que les bande de malfrats ne puisse le pister trop facilement, autant de technique que son oncle lui avait enseigné en prévision de cette épreuve. Là où il ne fut en revanche pas préparer fut lorsqu’il se retrouva nez-à-nez avec un durzog au détour d’un virage. L’hideuse créature le repéra et courrait déjà dans sa direction, Maeornius fit volte-face et courut hors sentier en espérant qu’il court plus rapidement que le durzog qui était à ces trousses. S’ensuit un course-poursuite de longues minutes qui vu le petit elfe noir éviter à plusieurs reprises des coups de griffe acérée. Après plusieurs minutes à rester caché dans une vielle souche d’arbre, Maeornius estima que le durzog était hors de portée…mais pour combien de temps ?
Acte I : Le départ
Nous sommes le 5 Vifazur, le soleil se lève lentement sur Blacklight, petite bourgade situé au Nord de Morrowind et coincé entre les montagnes au Sud et la mer au Nord. Le petit Maeornius, âgé de ces 12 étés, se réveille tandis que sa mère lui a préparé son petit-déjeuner, constitué essentiellement de Venaison et de fromage de Mammouth en provenance de Bordeciel.
Aujourd’hui est un grand jour pour Maeornius ; il va enfin passer le rite qui se perpétue dans sa famille depuis des siècles : il va devoir voyager à travers monts et vaux afin de devenir un Dunmer cultivé et aguerri pour pouvoir servir plus tard la mère patrie si le besoin se fait sentir.. Néanmoins sa famille est d’autant plus attentive que Maeornius a emprunté un chemin bien différent de celui des autres membres. En effet la grande majorité de la famille s’étaient aguiché pour le maniement des armes ou pour l’art de la furtivité, Maeornius, lui, a été très vite attiré par l’art des arcanes et avait, de surplus, un talent inné pour l’application de celle-ci.
L’après-midi approchant, Maeornius, équipé de son Havresac quitta le village après de chaude accolade avec sa mère et son oncle, habitant lui aussi dans le village et lui ayant appris les techniques élémentaire de survie. Le prochain objectif : partir vers le Sud et faire étape à Narsis, grande ville de Morrowind. Mais, actuellement, son principal défi résidait dans le fait de devoir traverser la chaîne de montagne lui permettant de rejoindre Narsis plus rapidement. Malheureusement cette chaîne de montagne était connue pour servir de repaire à un grand nombre de maraudeurs et de viles créatures : la vigilance était donc de mise.
Après deux jours de marche, Maeornius arriva devant le chemin sinueux et pentu qui amorçait la marche à travers les montagnes. Sans se poser trop de question, il passa devant l’écriteau d’avertissement et fonça tête passé vers le premier sommet. Le chemin était pavé mais inégalement et les petites bottes de cuir qu’avait confectionné Maeornius n’était guère adapté à ce genre de terrain, la douleur se fit ressentir rapidement et des ampoules commença à apparaitre ici et là sur les chevilles, transforma la marche en un véritable calvaire. Pour ne rien arranger la nuit commençait à tomber et rien n’était fait pour qu’il puisse dormir à l’abri des vents froids et violents qu’il y avait à cette période de l’année. Maeornius se dépêcha donc de faire un tas de bois de fortune et de l’allumer avec le seul sort qu’il connaissait, un petit sort qui projette un filet de feu en continu mais peu puissant, par chance le petit feu s’alluma assez vite. Malgré que la question d’être attaqué pendant son sommeil, Maeornius s’endormit assez vite.
Il se réveilla aux premières lueurs du jour, remballa ces affaires et dissémina les cendres de la veille pour éviter que les bande de malfrats ne puisse le pister trop facilement, autant de technique que son oncle lui avait enseigné en prévision de cette épreuve. Là où il ne fut en revanche pas préparer fut lorsqu’il se retrouva nez-à-nez avec un durzog au détour d’un virage. L’hideuse créature le repéra et courrait déjà dans sa direction, Maeornius fit volte-face et courut hors sentier en espérant qu’il court plus rapidement que le durzog qui était à ces trousses. S’ensuit un course-poursuite de longues minutes qui vu le petit elfe noir éviter à plusieurs reprises des coups de griffe acérée. Après plusieurs minutes à rester caché dans une vielle souche d’arbre, Maeornius estima que le durzog était hors de portée…mais pour combien de temps ?
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|